闁汇埄鍨虫灙闁告洘鍎抽埢鏃堝即閻愬吀绱f俊鐐€濈粻鏍涢敓锟�
闁汇埄鍨伴幗婊堝极閵堝應鏋栭柡鍥╁仧娴兼劙鏌ㄥ☉铏
婵炴挳妫垮鎺旂箔閻旂厧绠ラ柍褜鍓欓銉ノ旈崘锝嗭紘濠电偛顧€閹凤拷
The Family and Medical Leave Act
......闂佺ǹ绻楀▍鏇㈠极閻愬搫绀傛い鎴f硶閼稿綊鏌涘▎蹇撴缂佽鲸绻堝濂稿川闁箑娈洪梺绋跨箞閸旀垿宕曢幘顔藉仢闁瑰嘲鐭堥弨鑺ョ箾婢跺绀€缂佽翰鍎垫俊瀛樻媴缁涘鏂€闂佽 鍋撻柟绋挎捣閵嗗﹪鎮峰▎蹇擃伀闁烩剝鍨块弫宥囦沪閼测晛鏅╅柣鐔哥懕缁叉儳銆掗崼鏇炴闁绘鐗忛妴濠勨偓鍨緲椤戝牏绮婇銈嗗妞ゆ牓鍊楃粈澶愬级閳哄伒鎴濓耿娓氣偓瀵挳寮堕幋顓熲柤
欢迎访问本站。
Shurangama Sutra Chapter 6 Shurangama Sutra Chapter 1 法语培训资源
Sūtra Shurangama
Le Sūtra Shūrangama ou Sūrangama, nom chinois Dafoding shoulengyan jing
(大佛頂首楞嚴經) ou Lengyanjing (楞严经), fut vénéré dès la dynastie Tang par toutes les
écoles du bouddhisme chinois et beaucoup commenté au cours des siècles suivants.
Sa popularité fut particulièrement grande auprès des syncrétistes (sanjiaoyiyuan
三教一源) des dynasties Song et Ming. Il devint progressivement l’objet d’un intérêt
particulier pour les maîtres de l’école Chan, dont Changshui Zuxuan (Song), Han-shan
Te-ching 憨山德清 (Ming) et Vénérable Xuanhua 宣化 (1918-1995), qui ont beaucoup
contribué à sa diffusion et à sa compréhension.
Son nom intégral est Dafoding rulaimiyin
xiuzhengliaoyi zhupusa wanheng shoulengyan jing (大佛頂如來密因修證了義諸菩薩萬行首楞嚴經),
traduction approximative : Soutra Shūrangama aux dix mille pratiques de tous les
bodhisattvas, signification ultime pratiquée et prouvée, cause secrète des
ainsi-venus (tathāgatas), du sommet du grand Bouddha. L’ouvrage comprend 10
fascicules. (Taisho Tripitaka Nº 945)
Un autre soutra au nom similaire, le Shūrangama samShūrangamadhi sūtra,
comprenant deux fascicules, a été traduit par Étienne Lamotte (T. 642).
Selon la tradition, il fut traduit en 705 au
monastère Zhizhi (制止寺) de Canton par le moine indien Polamiti (peut-être
Paramiti) et deux assistants sous la protection de Fang Rong (房融), ministre de
Wu Zetian dégradé depuis peu au rang de fonctionnaire local dans sa région
d’origine. On attribue parfois à ce dernier la réécriture du soutra, que son
excellent style classique distingue des autres traductions. Cette qualité
littéraire, le manque de notoriété des traducteurs, les critiques qu'il contient
à l'égard des “faux maîtres” et sa popularité auprès des syncrétistes sont à
l’origine de nombreuses accusations d’apocryphie. Pour cela, il faillit être
brûlé au Japon au milieu du VIIIe siècle, et y resta toujours confidentiel.
Néanmoins, la communauté bouddhiste chinoise ainsi que de nombreux spécialistes
contemporains, dont Ron Epstein de l’Université de San Francisco et Luo Xianglin
(羅香林) de l’Université de Hong Kong, considèrent qu’il s’agit bel et bien de la
mise en forme de matériaux sanscrits, et non d’une création chinoise.
La légende prétend qu’il aurait été
découvert par Nagarjuna, puis considéré comme trésor national par les royaumes
indiens, aussi son exportation était-elle illégale. Dès la dynastie Sui, le
fondateur de l’école Tiantai, Zhiyi, aurait entendu parler du Shurangama et
priait tous les jours tourné vers l’Orient que le soutra parvienne en Chine.
Après une première tentative infructueuse, Polamiti décida de le dissimuler à
l’intérieur de son bras, emballé dans de la soie et de la cire. Parvenu à
Canton, il l'extrait de sa cachette, d’où son surnom de Soutra aux taches de
sang (Xuezejing 血漬經). Après en avoir dirigé la traduction, Polamiti serait
retourné dans son pays assumer la responsabilité de son crime de contrebande et
faire libérer le garde-frontière tenu pour responsable. Offert à Wu Zetian par
Fang Rong, l’ouvrage ne fut pas diffusé immédiatement à cause d’un scandale
récent à propos d’un faux soutra. Il aurait été redécouvert par le maître Chan
Shenxiu alors qu’il résidait au palais.
La tradition du bouddhisme millénariste chinois prétend qu’il est le dernier
soutra apparu et sera le premier détruit à l’approche de l’ère de Maîtreya.
Selon Ron Epstein, on peut reconnaitre dans
ce soutra une influence tantrique et yogacara. L’un des principaux thèmes
développés est l'inefficacité du dharma (enseignement) seul sans la samadhi
obtenue grâce à la méditation. L’importance de la moralité est également
soulignée. Ces deux sujets sont abordés dès le prologue à travers les
mésaventures d’Ananda, qui connait par cœur l’enseignement du Bouddha mais ne
médite jamais. Victime d’un mauvais sort qui le dirige vers une prostituée, il
est sauvé par un mantra récité par le Bouddha.
Le soutra développe aussi la distinction entre la conscience discriminante et la
pensée vraie universelle (compréhension achevée du titre), présente
indifféremment dans tous les dharmas. Il contient des instructions concrètes
concernant la méditation, la description de 57 étapes vers l’état de
bodhisattva, des précisions sur le karma et les renaissances, ainsi qu’une
présentation de 50 états démoniaques que l’ascète peut rencontrer sur son chemin
spirituel.
Selon le maître Chan Hanshan Deqing (dynastie Ming), le Shurangama ne peut être
compris que par le biais de la perception véridique grâce au yoga pratyaksa, en
éliminant toute trace de discrimination consciente.
Il a acquis une place aussi importante que les soutras du Lotus, Avatamsaka et
Prajnaparamita en Chine, où l'on souligne volontiers les correspondances que son
contenu offre avec de nombreux autres textes du Canon. Sur un plan pratique, sa
section finale, qui contient la description des cinquante (dix pour chaque
skanda) états de déviation démoniaque faisant obstacle au progrès spirituel, est
très lue, ainsi que les explications concernant son mantra.
Le maître Chan Vénérable Xuanhua (1918-1995), un des grands promoteurs du Soutra
Shurangama, mettait également en avant sa valeur d’avertissement contre les faux
gourous.
LIRE AUSSI :
Shurangama Sutra Sūtra du Cœur
Le Livre des Odes Les Entretiens de Confucius
Yi Jing, le Livre des Mutations
Sūtra Shurangama Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 5 6 7
感谢您访问本站。
缂傚倷鐒﹂悷銈囩礊濡崵顩烽悗锝庡墰閻繂鈽夐幙鍐х盎缂佽翰鍎抽弫顕€鏁撻敓锟�
闁荤偞绋戦張顒勫棘閸屾埃鏋栭柡鍥f濞兼劙鏌曢崱鏇熺グ妞ゎ偄顦辩划鈺呮偑閸涱垳鐛�
閻庤鎮堕崕瀵哥矈椤愶箑缁╂い鏍ㄧ懅鐢盯鎮峰▎蹇擃仼闁伙綇鎷�
闂佽娼欓悘婵嗭耿鐎涙ḿ顩茬憸宥囨閹达箑鐭楅柟瀵稿Х閻ュ懘鏌﹂埀顒勫Ψ瑜滈崥鈧梺鑽ゅ剳閹凤拷...
闁荤姴娲g粈渚€宕哄⿰鍫濈闁哄浄绱曢妶顐︽煕閳哄倹銇濋柛锝呭⒔閹风娀宕熼鍡楃畾...
缂備礁顦粈浣衡偓姘懇楠炲酣寮撮敍鍕╁亽闂佺硶鏅滃浠嬪闯妤e啯鍎庨柟瀵稿У婵傦拷...
濠殿喗蓱閸ㄥ灝螞閸ф纾归柣鏃傜帛瀹撳秹姊洪銏犫偓濠氬极閵堝應鏋栭柡鍥╁仧娴硷拷...
婵炲瓨绮嶇敮鎺撴叏閳哄懎鐭楃€光偓閸愵厸鍋撴禒瀣櫖闁跨噦鎷�
婵炲瓨绮岄幖顐f叏韫囨洘灏庨柛鏇ㄥ墰閻栬京绱掗悪鍛?闁诡喖锕畷顏堝Ω椤垵娈�
闂傚倵鍋撻柟绋垮閸╁倿鏌涘顒傚缂傚秵妫冮弫宥夋晸閿燂拷